La ronde célébrée
Quand tu danses sur l’onde des soirs enchanteurs,
Au son des violons qui enivrent ton cœur ;
Quand tu es au sommet de ta gloire, ta splendeur ;
Dans ces jours furieux qui ne connaissent la peur,
Tu illumines les lieux telle une âme en fleur.
Ton secret caché, invisible de dehors,
Qui fait de ta beauté le plus riche décor,
De tes traits fatigués le plus pur bouton-d’or,
Est pourtant l’un des plus simples. Que l’on t’aime encore.
Jaloux, ils t’admirent comme un puissant trésor,
Quand tu danses sur l’onde des soirs enchanteurs
Au son des violons qui enivrent ton cœur.
Et toi tu les ignores, oubliant leur ferveur,
Pour leur yeux cupides, t’as n’a aucune douceur.
Dans tes pensées il n’existe que ton humeur.
On te nomme égoïste chez les gens d’en bas,
Sans même te parler, on se fait juge et loi.
Mais comment leur en vouloir face à tes exploits ?
Car tu as endommagé leurs cœurs tant de fois.
Toujours tu danses indocile sourde à leur voix.
Mais pourtant on te divinise ; et ta froideur
Rafraichit les nuits d’été, vent sous la chaleur.
Quand tu es au sommet de ta gloire, ta splendeur ;
Dans ces jours furieux qui ne connaissent la peur ;
Où nul ne voit vraiment ce que cache ton cœur,
Je sais, moi, que tu n’aspire qu’à être aimée,
Etre adorée complimentée, idolâtrée.
Il n’existe pour toi qu’une voie du succès :
Que tu effaces les autres en claquant des doigts
Pour que dans tous les cœurs il n’existe que toi.
Quand tu danses sur l’onde des soirs enchanteurs
Au son des violons qui enivrent ton cœur ;
Quand tu es au sommet de ta gloire, ta splendeur ;
Il submerge ton être dépasse tes peurs,
Ce sentiment puissant que tu nommes bonheur.
PS : N'hésitez pas à me dire ce que vous en avez pensé. Les avis sont toujours bons conseils o/
- post 1 octobre 2016-